Nouvelles
Un circuit sympa 86 km pour environ 900m de D+ sur les coteaux du Gers avec du vent dans le nez au retour. 6 CCViens seulement pour 305 participants, une 15éme place. Il y avait Agnès, Sylvie, Henri, Guy, Benoit et Daniel.
Gérard GAYRAL,ayant internet en panne,m'a demandé de remercier toutes les personnes qui sont allées le voir à la clinique de l'Union ou au Marquisat ainsi que celles qui l'on appelé pour prendre de ses nouvelles. Il est maintenant tranquille à la maison pour poursuivre sa rééducation et regarder le tour de France.
bonjour a tous ,J-Bernard FUALDES ayant déclaré forfait pour l'EDT 2014 ,propose de faire bénéficier de son engagement pour cette épreuve entre PAU et HAUTACAM le 20 Juillet 2014 (148km) et ceci avec un numéro VIP ......le 54
vous pouvez le contacter a son n° tel que vous trouverez dans l'annuaire du CCV
Samedi dernier avait lieu l’Ariégeoise ; beaucoup de monde pour cette 20ème édition qui s’est déroulée sous un soleil radieux. Tous nos CCviens étaient engagés sur le parcours de la Mountagnole qui proposait une distance de 103 kms pour un dénivelé de 2313 m et une traditionnelle arrivée au plateau de Beille. Sur les 2800 engagés sur ce circuit, les résultats sont les suivants : 1er 03h35 ; 26ème JLuc R 03h49 (superbe performance !) ; 285ème Didier D 04h26 ; 290ème JLuc B 04h26 ; 704ème François 04h55 ; 830ème Guy L 05h02 ; 1720ème Didier R 05h53 (crevaison !); 1794ème Gérard BOUSQUET 05h58 ; 2300ème Jammes 06h47 ; 2312ème Gérard BARON 06h48 ; 2494ème Henri E 08h22. Bravo à vous tous en espérant n’avoir oublié personne.
16 ccviens une première place et 228 participants.La concurrence de l'Ariégeoise à été rude pour l'organisateur. Certains cviens qui avaient participés à la cyclosportive la veille, sont tout de même venus se décrassés les jambes sur le parcours bleus. Le seul intérêt de la première partie fut le ravito et les saucisses grillées. On espérait mieux pour le retour, mais la seul difficulté était la côte de Villebrumier, le plus éprouvant était sans doute la portion Villebrumier, Saint-Rustice, vent d'ouest défavorable, route en mauvais état et quelques faux plat casse pattes. La tentation était forte ce matin de mettre les roues carbone, le ciel menaçant refroidi les ardeurs, pourtant pas une goutte de pluie de toute la matinée, mais au final point de regret vu l'état des routes. Au total 86km et 682m de d+, et un inter-club qui ne restera pas dans les annales. Au retour une crevaison pour le Doc', un vilain silex planté dans un boyau presque neuf !!!!!!
Un petit groupe de cyclistes à l’assaut de l’Ardéchoise...
Dix cyclistes encadrés par Hubert Azéma, que certains membres du CCV connaissent bien, grand organisateur d’épreuves cyclo et grand connaisseur de l’Ardéchoise puisque il en était à sa 18ème participation.
Engagés sur quatre jours, en version Randonneur, un jour l’Ardéchoise Verte et trois jours sur les Circuits Hautes Terres.
Premiers coups de pédale sur la Verte qu’ils appellent aussi la Douce, qui nous a conduits jusqu’à St Bonnet-Le-Froid, village qui porte bien son nom (gla-gla!) puis le col du Rouvey, 1244 m, qui fut le point le plus haut de la journée. Quand ils disent douce, même si nous avons choisi le parcours le plus court, il y avait tout de même sept cols au programme avec 1860 de dénivelé pour 110 km parcourus, inutile de vous dire que je ne l’ai pas trouvée si douce que ça...
Deuxième jour : l’Ardéchoise Hautes Terres. Dès les premiers km nous sommes dans le vif du sujet ; le Col du Buisson, 920 m, sera le premier des 8 cols que nous aurons à franchir dans la journée, le Col de Mézilhac, 1119 m, sera le point le plus haut, à l’arrivée nous aurons 128 km et 2210 de dénivelé.
On loge dans un gîte, une ancienne usine de soie qui a été aménagée spécialement pour l’Ardéchoise. L’ambiance est très bonne, nous sommes une centaine sur le même lieu, mais je dors mal à quatre par chambre, quelques ronfleurs et certainement l’angoisse du lendemain.
Troisième jour : l’étape la plus difficile. Les jambes sont lourdes mais le moral reste bon, le gîte se situe a deux km du bas du Col de la Baricaude, 1257 m sur 11km, donc tout à gauche dés le départ. 13 cols sont répertoriés pour la journée ; dans le nombre, le Gerbier de Jonc, 1417 m, la Croix de Boutières, 1506 m, point culminant de notre séjour et pour finir le Col de Scie, 1205 m, mais notre parcours n’était pas terminé, il restait 15 km de descente sur une route toute petite, très pentue et sans aucune protection. C’est crispé sur les freins, la peur au ventre, que j’ai effectué cette descente. Enfin à la Chapelle sous Chanéac le patron du gîte, un ancien joueur de rugby, nous a accueillis avec une bonne mousse, le plus grand bonheur de la journée, inutile de vous dire que le soir je n’ai pas regardé l’équipe de France.
Quatrième jour : les copains me disent que ce sera un petit peu moins dur que la veille, mais c’est par le Col de L’Ardéchoise que nous commençons le périple, 11,7 km, pente moyenne 5,5% et quelques passages à plus de 10%, mais quand on en bave autant dès le départ après le reste te paraît plus facile.Il restait tout de même 6 cols à franchir, dont le Col de Freydaparet, 1115 m, le Col de Lalouvesc, 1092 m, et le Col de Buisson qui lui, est en descendant, puisque nous l’avions grimpé le premier jour.
On termine là notre périple, nous avions 475 km au compteur, près de 9000 de dénivelé et 32 cols répertoriés, même si certains ne sont pas très hauts ils aident malgré tout à user l’organisme.
Le samedi, jour de la Cyclo, ce sont 8000 cyclistes qui viennent s’ajouter aux 6500 déjà présents et les 50 derniers km sont communs, et là, image inoubliable depuis le haut du Col de Lalouvesc, on fait un arrêt pour admirer le paysage et on voit depuis le bas du col jusqu’au sommet, dans tous les virages, toutes les épingles, il n’y avait pas un mètre sans un cycliste, tel une fourmilière colorée qui se hisse vers le sommet. MAGNIFIQUE !
A partir de là l’organisation bat son plein, sécurité maximum, les ravitaillements des tables jusqu’à 50 mètres de long, où on trouve de tout, du salé, du sucré, du consistant, du léger, du liquide, du solide, il y en avait un qui servait même un petit demi, vous comprenez que je n’ai pas résisté, surtout depuis que François m’a dit que la bière était la boisson la plus régénérante...
Voila un petit résumé d’une très belle épreuve, à laquelle je suis ravi d’avoir participé, merci à tous les copains du CCV qui m’ont aidé a préparer cette rando, merci à Hubert pour son invitation et merci aux dix copains de galère qui m’ont encouragé jusqu’au bout.
Estèves Antoine
C'était la fête du vélo ce matin. Trois ccviens pour se rendre à vélo sur place, La Grinche, Laurent et moi. Il y en avait un 4ème on ignore son nom, mais on à sa déscription "il est grand" qu'il à dit La Grinche !!! 590 inscrits et une anecdotique 32ème place. Un départ matinale à travers la ville de Toulouse où l'on à vu les fêtards de la veille qui rentraient se coucher. il fallait aussi être vigilant pour éviter les canettes de bière cassées sur les bords de la route. Arrivés à Pins, petit problème intestinaux pour Laurent, hésitation, j'y vais, j'y vais pas, je fais le bleu ??? Finalement va pour le noir. Tandis que La Grinche qui était allé à la montagne la veille avec Lolo, choisit l'option de la sagesse avec le bleu. Des premiers km tout plat ou une nuée de sangsue vinrent se coller à nous, la première côte étira le peloton et dans la 2ème il n'y avait plus que Laurent et moi. Un très beau parcours très bien flécher, de beau paysage, et un duo qui fonctionnait plutôt bien. Un ravito que l'on cru ne jamais atteindre, et qui arriva au bout de 72km !!! saucisses et viande grillé à volonté, on refait le plein d'eau, car les bidons étaient à sec, et nous voilà reparti pour les 35 dernier km avalés en moins d'une heure. Au final 106km et 1158m de d+ à la moyenne de 33,5km/h !!! et tout ça rien qu' a deux ! Laurent, m'a gratifier de quelques bons relais dans les bosses. Ses qualités de récupération laisse tout de même rêveur, même s'il m'a dit qu'il avait eu mal aux jambes. Heureusement ! Quant à mois j'étais bien content d'en terminer. Pendant ce temps là, La Grinche avait siroter quelques bière en nous attendant. Restait plus qu'à rentrer à la maison. Re traverser la ville, re éviter le verre part-terre, mais ce qui devait arriver, arriva, et c'est tomber sur Eric, exactement le même bruit que dans le film "la grande vadrouille", boyau explosé. La grinche en colère, mais heureusement Lolo à pris les choses en main, en 2 temps 3 mouvement le boyau était changé, quelques coup de pompes, Lolo laisse Eric mettre les dernier bars dans le boyau, mais ce dernier ne sentant pas sa force, patatras, il casse le prolongateur de valve, Bin là, il était en colère tout rouge. Heureusement, Lolo, toujours lui, sort un boyau de sa poche, redémonte celui qui n'a plus de valve, remet le sien, le centre, le gonfle, et le tour est joué. Plus qu'à rentrer à la maison, en attendant des nouvelles, de nos courageux ccviens partis affronter le col d'Aubisque.
Ascension tranquille du Balès, mais déjà le ravito avait été dévasté, pratiquement plus rien à se mettre sous la dent ! Pas grave on avait de quoi dans les poches. Nous entamons ensuite les 14 km de descente sur St AVENTIN, légèrement ralentis par le passage de la transhumance, les brebis occupant la totalité de la route ont eues la primeur de quelques photos.
Venait ensuite la montée vers le Peyresourde, plus courte mais sensiblement moins pentue que le Balès. Nous retrouvions dans l'ascension, Christian et Alain que nous n'avons pas vu au sommet, ils ont finalement préféré rentrer par BAGNERES de LUCHON.
Après quelques photos c'est le retour vers IZAOURT, un retour qui après la descente du col est apparu assez long et il faut le dire assez rugueux.
Un casse-croute bienvenu a clôturé les débats. Dommage qu'on ai pas choisi de se regrouper pour l'anniversaire de Didier. Mais le coeur y était.
Une bien belle journée, 116 km parcourus et 2377m de dénivelé! Plus de 350 participants, une belle réussite pour la commission qui organisait!
