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Deux cyclosportifs à la Lapébie (voir la nouvelle détaillée ci-dessous d'Alexandre) pour affronter un parcours exigeant de ce qui devrait être la dernière édition de cette cyclo pourtant si agréable. Dommage ! Mais on comprend que les contraintes deviennent trop lourdes pour les organisateurs qui jettent l'éponge !
Et puis 32 CCViens, une première place en nombre (mais pas au pourcentage...) pour la rando d'Aucamville. Alors rien à dire côté organisation : un fléchage sans faille, un ravitaillement copieux et délicat à proximité de Vacquiers (au chateau Clos Mignon réputé pour son doux breuvage). Une note nettement moins élevé pour ce qui concerne les parcours. Certes nous sommes difficiles car nous connaissons toutes ces routes comme notre poche ! En effet, nous pouvons regretter que nos amis aucamvillois n'aient pas fait preuve d'un peu plus de subtilité (et de difficulté) dans le choix de l'itinéraire pour faire mieux découvrir aux clubs lointains nos petites routes pittoresques vallonnées plutôt que les grands axes plats sans intérêt...
En vous rappelant que notre réunion de septembre aura lieu ce vendredi 7/09 à 21h salle des ainés. Qu'on se le dise !
2 ccviens à La Lapébie !
Contrairement à la Jalabert, je suis parti seul avec la tente le samedi. Première chose s'inscrire, et ensuite trouver un camping. Le montage de la tente me prit un peu de temps, j'avais quelques peu oublié les consignes de montage. Mais peu avant la tombé de la nuit le lit était fin prêt. Le sommeil se fit paisiblement mais fraichement. 8°c le matin au réveil, et 12° sur la ligne de départ. Le temps nuageux du matin fit rapidement place à de belle éclaircie.
Sur la ligne de départ c'est avec plaisir que j’aperçus et saluais Jean-luc Bougues. Sur cette même ligne il nous est confirmé par l'organisation que c'est probablement la dernière édition, les autorisation préfectorale étant visiblement trop compliqué à obtenir.
Le départ donné, je fit le maximum pour garder une place dans les 20 premiers afin d'éviter d'éventuels chutes, c'est là que je croisais notre compagnon du dimanche matin, Hubert.
Et nous voici au pied du col de Menté, dés le pied le rythme fût très soutenu, la sélection se fit rapidement. Je m'accrochai du mieux que je pu, mais vers la mi-pente je prit la décision de lever le pied avant d'exploser, quelques concurrents me rattrapèrent mais je les laissais filé, préférant me préservé. Peu avant le sommet un groupe de 4 revient sur moi, là je dois m'accrocher puisque derrière il n'y à plus personne, c'est chose faite. Je me rends tout de même compte qu'il m'a fallu mettre le 34*25 pour le col de Menté, je n'ai pas de braquet plus petit, je commence à me questionner pour le Port de Balés !
Au sommet du col de Buret les différent groupe n'en forme plus qu'un, nous sommes une quinzaine, notamment notre ami Hubert. Je ne parle pas des 6 ou 7 qui sont devant et qui sont intouchable. L'allure restera trés soutenu jusqu'au pied du Port de Balès, pas une minute de répit.
Et voilà le juge de paix, à ce moment là, j'ai les cuisses tétanisé par des crampes, alors dés les premiers hectomètre je fais le choix de laisser partir mes compagnons et de gérer seul ma monté.
Le week-end dernier lors de la rando de l'ail, j'avais demandé un maximum d'info à Polo sur le parcours que je ne connaissais pas, sa connaissance du terrain et ses conseils me furent d'un grand secours, double merci Polo.
Les 6 premiers km furent très dur, les crampes très tenaces, je me devais de trouver des ressources au plus profond de moi pour passer ce cap. Et petit à petit les crampes devinrent moins tenaces, et paradoxalement c'est dans les pourcentages les plus dur que je fût le moins mal. Ceci dit 34*25 pour le Port de Balés après 80 km de courses c'est trop grand !!!!! Dans les portions les plus dur la position en danseuse fût la plus utilisé.
On oublieras la cadence de pédalage ! Et ce que je pensais arriva, je commençais à rattraper certains de mes anciens compagnon de route. C'est avec surprise que certains que je trouvais très impressionnant dans le groupe, était complétement à la dérive. A chaque fois que je rattrapais un ancien compagnon, un autre revenait de l’arrière pour me rattraper !!! Et après 20km de monté, enfin la descente, là, vaille que vaille, même pas peur je décidais de la faire à bloc.
Il y eu bien 2 concurrents sorti de je ne sais où qui me rattrapèrent, mais je fit sans doute la meilleur descente de ma vie !!! je donnais donc mon maximum jusqu'à l'arrivé, je finis exténué, sur les rotules, des crampes plein les jambes, et ma hanche récalcitrante me fit boiter bas. Que c'est dur le vélo !!!
Résultat :
1er 3h53
2éme 4h00 (les fins connaisseurs apprécieront les 7 minutes d'écart)
23éme Marquis Alexandre 4h16 Mes données compteur sont différentes du programme initial, cela m'a été confirmé par d'autres concurrents : 120km 28km/h moyenne 2704m de d+
Comme je ne serai pas présent a la prochaine réunion, je tenais a vous informer que j'organise un nouveau séjour au Portugal du 23 mai au 2 juin 2013.
Avant de satisfaire les nombreuses demandes extérieures, je souhaite donner la priorité aux membres du CCV. Je remercie donc ceux qui sont intéressés de se faire connaître le plus rapidement possible.
Ce fut un véritable plaisir d'abord de se retrouver après la trêve, et de rouler sur ces belles routes du Gers dans une fraicheur bien appréciée après la canicule et sous un grand ciel bleu jusqu'en milieu de matinée. Les quelques nuages dont le ciel s'est chargé un peu plus tard n'ont néanmoins pas altéré l'impression de beau temps. A un rythme soutenu mais jamais extrême, le groupe de CCViens ne s'est scindé que pour écourter légèrement le parcours rouge. On a bien perdu Alex, qui a raté une flêche, ce qui lui a valu de faire la moitié du parcours en solo... 4 autres CCViens (soit 13 au total) avaient fait le déplacement également à Cadours, et sont donc partis rouler sur les parcours avant l'arrivée du train jaune.
Grâce à eux, nos tresses d'ail ont pu être récupérées et seront distribuées lors de la prochaine réunion ! Un grand merci à tous.
Pour ce qui concerne le train jaune, départ à 7h de Castelmaurou (pour partir avec le jour), 7h15 à St Loup Cammas, 7h25 à Castelginest et 7h30 à Fenouillet (rond point qui enjambe le canal). Il y a 47 kms pour rejoindre Cadours, nous enchainerons avec la petite boucle (dite "rouge") de 38 kms, soit un total de 132 kms.
Du fait que le jour a bien diminué, et que la distance est relativement importante pour rejoindre Cadours, exceptionnellement nous ne prévoyons pas d'être à Cadours à 8h sinon il faudrait partir à 6h... En fonction de la composition du groupe et du sens du vent... nous devrions être à Cadours vers 8h30-8h45 et nous devrions donc rouler groupés "entre CCViens". Venez nombreux !
1 seul ccviens à la Jalabert, s'il y en avait d'autres ils se sont bien cachés !
Voilà, j'ai fait ma première cyclosportive. Avant tout, petit retour en arrière. Après un mois de Mai et Juin presque vierge en inter-club, juillettiste dans l'âme me voilà parti en vacances avec le vélo dans les bagages. 1000 km de moins que l'an dernier à la même période et prés de 8 week-end de suite sans inter-club, le verdict tombe sans appel dés la première sortie, je suis à la rue !
Durant la première semaine je devais avoir plus d'acide lactique que de sang dans les veines ! un vrai chemin de croix. Mais le ccviens est teigneux et petit à petit la forme pris forme. Je conclu mes vacances par notamment une sortie de 160km avec prés de 2500m de d+ et une autre de 200km avec près de 2800m de d+. C'est là que je pris la décision de m'inscrire à la Jalabert et de commencer modestement par le 100km. Il me restai donc à parfaire ma condition physique, après quelques jours de repos modéré suite aux vacances, direction le plateau de beille que je gravis par deux fois. Il me restais à travailler l'intensité, ( 3 mois sans inter-club ça se sent), que je fit la semaine suivante par des chaleurs caniculaire. Arrive alors la semaine de la "cyclo" ou je relâche sensiblement l'entrainement, j'ai besoin de récupérer physiquement et mentalement.
Et me voilà donc parti vendredi soir avec femme, chien, chat et la caravane et direction le camping de Mazamet. Nous profitons du samedi et du lac de la raviège pour nous détendre et aussi pour reconnaitre une parti du parcours qui me seras bien utile le lendemain.
La dernière nuit ne fut pas de tout repos, l'appréhension du lendemain et de l'inconnu.....
Je suis arrivé assez tôt sur la ligne de départ, premier objectif arrivés le mieux placé possible au pied de la 1ére bosse.
Le vent violent avait dù calmer les ardeurs de certains puisque les 10 premiers km vent de face se firent modérément.
Dés les premiers métres de la bosses l'allure fut soutenu, si bien qu'au bout de 2 km à peine nous n'étions plus qu'une dizaine à faire partie du "groupe Jalabert". J'étais plutôt surpris de me retrouver parmi ces cadors, ce fut difficille, au courage, mais je m'accrochais. Au ravito au 37éme km et aprés 25km de bosses ou faux plat, enfin tout ce qui fait mal au jambes, je mange ma 1ére barre de céréales (je déconseil aux ccviens de manger une barre de céréales au pied d'une bosse ) le cauchemard, au moment même ou ça se mettait à attaquer dans tout les sens. C'est là aussi que je me rendis compte que si j'avais mal aux jambes, les copains étaient comme moi, mais finalement tout le monde se regroupait. ET vers le 50éme km les 7 plus costaud dont Jalabert en remirent une couche, et le courage ne faisant pas tout je les laissais partir, trop fort pour moi. On se retrouvais donc 9 valeureux à maintenir un rhytme soutenue. Des crampes et une douleurs à la hanche vinrent me rendre visite pour les 20 derniers km.
La dernière difficultés une côte de 3,5km suivi de plus de 5 km de descente ne donna rien. On entama donc la descente sur Mazamet, que 2 funambules entreprirent à tombeau ouvert, un gros coup de patin et un dérapage controlé et j'abdiquais d'essayer de les suivre, aprés tout y à rien à gagner, mais mon collégue en décidait autrement, me doublant bien décidé à rattraper les funambules, mais deux virages plus bas, un tout droit et une roulade plus loin il fit comme moi. On se retrouva donc à 4 survivants de la descente et nous rejoignames Mazamet ensemble. Et au bout d'un dernier sprint rageur une 11éme place vint couronner ma journée. Résultat absolument inattendu. On m'avait conseillé de gouter au cyclosportive et j'ai trouvé le gateau trés bon. De plus j'ai trouvé l'organisation trés au point, le parcours agréable et surtout sans zones particuliérement dangereuses.
1er Collet nicolas 3h00'02" 33,3 km/h
11éme Marquis Alexandre 3h06'42" 32,13km/h 5éme de la cat
C'est la trêve, du mois d'août pour les interclubs. Il y a bien Sorèze/Palleville mais c'est un peu loin de chez nous et puis vous êtes en général nombreux à partir en vacances... et sinon la "reprise" aura lieu à Cadours le 26/08 où nous tacherons de ne pas "planter de l'aïl"
. Pour autant, nous comptons bien revenir avec notre tresse offerte ! Je vous rappelle que vous pouvez consulter le challenge en ligne, et vous rendre compte que la compétition est serrée. Relevez le défis, et participez ! Il y a encore une bonne vingtaine de points à glaner d'ici la clôture de la saison pour figurer en bonne place. Pour le moment c'est Agnès qui caracole en tête. Bravo !
D'abord samedi, acte II de l'étape du tour, entre Pau et Luchon. 201 km et 4920m de dénivelé... ouf avec au menu l'Aubisque, le Soulor, le Tourmalet, l'Aspin et le Peyresourde. Météo annoncée clémente. Couvert au départ mais doux. Tout s'annonçait pour le mieux. Hélas, les cieux en avaient décidé autrement, et les cols ont été passées dans un solide brouillard, et une pluie nourrie. Des ascensions rendues compliquées, des descentes très glissantes et dangereuses. Sur 5 CCViens engagés, 4 (Jean-Luc R, Jean-Bernard, Laurent et Polo) ont rallié sans encombre l'arrivée. Jean-Luc B a décidé d'arrêter après avoir vécu le cauchemar de l'Aubisque et du Tourmalet. Plus de 5600 au départ et seulement 3800 à l'arrivée. Terrible ! Une couleur de déjà vu et surtout vécu il y a deux semaines dans la Pyrénéenne. Tout le monde est rentré sain et sauf et c'est l'essentiel. Et ils sont deux CCViens à avoir bouclé les deux actes à 6 jours d'intervalle (Laurent et Polo)... avec la Pyrénéenne le week-end d'avant. Un enchainement de trois épreuves aux difficultés (et conditions météo) finalement assez proches. Résultats sur : http://www.asochallenge.com/fr/etape-du-tour-2012-acte2_classement.html
Et puis ce dimanche à Baziège, une jolie randonnée bien vallonnée (84 km 920m de dénivelé) parcourue par 8 CCViens (238 au départ) sous le soleil retrouvé (mais pas la grosse chaleur encore). Bonne saucisse grillée au ravito, gentillesse et disponibilité d'une organisation sans faille. Bravo Baziège ! Et 153 km au compteur, avec un vent violent d'ouest de face au retour pour les 3 voyageurs du train jaune. Comme récup de l'acte II de l'Etape du tour, y'avait certainement plus reposant... Quand on est fou, on est fou !
Bravo à tous.