Pour une dernière, ce fut une jolie dernière journée, avec son lot de suprises, les moins bonnes d'abord : deux nouvelles crevaisons à déplorer dont une avant le départ !!! Certains arrivent à percer les pneus durant leur sommeil (ou serait-ce un effet dévastateur secondaire de la liqueur de noix)... Va falloir surveiller certains de près. Sinon ce furent surtout les bonnes nouvelles : les crampes ont disparu (et l'octonone aussi à quelques kilomètres du but... c'est étrange*), les malades sont de nouveau sur pieds. La Dordogne nous offre encore de magnifiques panoramas sous son soleil généreux, de nouvelles routes et villages pittoresques se découvrent à chaque détour. Un véritable enchantement de chaque instant.

Mais c'est déjà la fin d'un -trop- court séjour. C'est le moment déchirant de se quitter, en particulier pour les enfants (mais y'a pas qu'eux) qui se sont entendus comme larons en foire et doivent reprendre le chemin de l'école.

Un grand bravo encore à l'organisateur vénéré d'avoir découvert ce site ex-tra-or-di-naire, un bravo aux cyclistes qui ont tenu vaillamment le haut du pavé sans -presque- jamais mollir ni se faire pousser (euh ça c'est juste pour ne pas cafter...), un bravo aux accompagnants qui dans la bonne humeur ont profité du lieu et ses plaisirs (tout particulièrement la piscine). Une mention spéciale à vous tous (mais plus particulièrement à l'octoctone) qui avez su maintenir un -très- haut niveau de convivialité et de bonne entente sans aucune fausse note !

Une pensée à tous ceux qu'on aurait aimé avoir avec nous pour ces instants forts de partage -et de bonheur- et qui ne sont pas venus. On ne les a pas oublié pour autant. Qu'ils soient des notres l'année prochaine en Pays Basque !

(*) concernant ce détail croustillant, il faut ASBOLUMENT vous le faire raconter par l'intéressé en personne, car au fond, hein, qui est l'octoctone ? A vous de deviner...