Nouvelles
Bilan du week-end de l'ascension
- le 20/05/2012 20:45 par polo
Y'a en eu pour tous les goûts, y compris pour nos accompagnants, qui n'ont pas vu le temps passer malgré la météo un peu capricieuse. La maroquinerie de Tossa del Mar, le marché de Playo de Aro, la visite du village médiéval (dont j'ai oublié le nom), sans oublier le temps interminable à trouver une place pour se garer de retour à l'hotel (n'est ce pas Eric), pas de temps mort à déplorer !
La troisième et dernière sortie "groupée" fut une réussite de convivialité à allure modérée. On discute, on lézarde, on fait des photos à Palomas, sous la conduite de notre guide, Alain, le "régional de l'étape" et organisateur de ce week-end sur "ses" terres pour y avoir fait quelques stages. C'est à lui que nous devons ce séjour dans ce cadre magnifique à l'hotel Eden Roc. Le "col" de la Guangua fut l'ultime difficulté du parcours où nos CCViens ont décidé de se tirer un peu la bourre (c'est peut-être à cause de la menace de la pluie). Pas de grosses surprises en tête de peloton avec une domination pour ne pas dire une suprématie de Jean-Marc. Quelle forme ! Le Polo en a cassé l'axe de sa pédale, sans tomber fort heureusement (mais les mauvaises langues dirent que c'était une feinte car il était cuit)... On aura remarqué l'époustoufflant Jean-Phi, le pugnace Barça, qui revient de si loin avec ses blessures, et qui s'était déjà distingué la veille dans l'ascension vers le monastère de El Angels, sans oublier Maître Fabrice, toujours étonnant dans ses accélérations où les jambes tournent à 180 tours/mn (au moins). Enfin personne n'a démérité. Seule ombre au tableau, car ombre au tableau il fallait qu'il y eut, notre pauvre Sergio devait chuter lourdement (roue bloquée dans un caniveau) à quelques mètres seulement du but, dans San Feliu, à cause d'un facheux embouteillage pour cause de triathlon. Bref, arcadre sourcilière ouverte, et un métacarpe cassé... Aie, aie aie !
Pendant ce temps, un second groupe se délecte sur la magnifique boucle de la corniche entre San Feliu et Tossa del Mar, avec un retour par la longue ascension de Monta Negra.
La dernière soirée fut bien arrosée, une fois que nous avons pu remettre la main sur les gobelets pour faire l'apéro, ce qui valu un gage à Jean-Luc B... Et une fois couchés, la nuit fut arrosée par de puissantes ondées et même un violent orage sur le matin. O râge, O désespoir, il était donc temps de se quitter et de se mettre en route en direction de Toulouse. C'est donc sous la pluie que devait se dérouler notre retour. Les plus matinaux devaient réussir à regagner rapidement la Haute Garonne, les lève-tard y passèrent une bonne partie de la journée, à vitesse d'escargots dans les bouchons...
Voilà l'histoire de notre petit week-end espagnol. Pour ce qui est du Lherm, selon nos indicateurs 3 CCViens ont été fidèles au rendez-vous malgré la météo humide. Une boucle rouge somptueuse et très accidentée de plus de 1000m de dénivelé, avec un ravitaillement à Montesquieu Volvestre. Pour celui des trois qui était venu de chez nous en vélo, presque 200 km au compteur dont plus de 80 sous la pluie... Chapeau bas, l'ami !
La troisième et dernière sortie "groupée" fut une réussite de convivialité à allure modérée. On discute, on lézarde, on fait des photos à Palomas, sous la conduite de notre guide, Alain, le "régional de l'étape" et organisateur de ce week-end sur "ses" terres pour y avoir fait quelques stages. C'est à lui que nous devons ce séjour dans ce cadre magnifique à l'hotel Eden Roc. Le "col" de la Guangua fut l'ultime difficulté du parcours où nos CCViens ont décidé de se tirer un peu la bourre (c'est peut-être à cause de la menace de la pluie). Pas de grosses surprises en tête de peloton avec une domination pour ne pas dire une suprématie de Jean-Marc. Quelle forme ! Le Polo en a cassé l'axe de sa pédale, sans tomber fort heureusement (mais les mauvaises langues dirent que c'était une feinte car il était cuit)... On aura remarqué l'époustoufflant Jean-Phi, le pugnace Barça, qui revient de si loin avec ses blessures, et qui s'était déjà distingué la veille dans l'ascension vers le monastère de El Angels, sans oublier Maître Fabrice, toujours étonnant dans ses accélérations où les jambes tournent à 180 tours/mn (au moins). Enfin personne n'a démérité. Seule ombre au tableau, car ombre au tableau il fallait qu'il y eut, notre pauvre Sergio devait chuter lourdement (roue bloquée dans un caniveau) à quelques mètres seulement du but, dans San Feliu, à cause d'un facheux embouteillage pour cause de triathlon. Bref, arcadre sourcilière ouverte, et un métacarpe cassé... Aie, aie aie !
Pendant ce temps, un second groupe se délecte sur la magnifique boucle de la corniche entre San Feliu et Tossa del Mar, avec un retour par la longue ascension de Monta Negra.
La dernière soirée fut bien arrosée, une fois que nous avons pu remettre la main sur les gobelets pour faire l'apéro, ce qui valu un gage à Jean-Luc B... Et une fois couchés, la nuit fut arrosée par de puissantes ondées et même un violent orage sur le matin. O râge, O désespoir, il était donc temps de se quitter et de se mettre en route en direction de Toulouse. C'est donc sous la pluie que devait se dérouler notre retour. Les plus matinaux devaient réussir à regagner rapidement la Haute Garonne, les lève-tard y passèrent une bonne partie de la journée, à vitesse d'escargots dans les bouchons...
Voilà l'histoire de notre petit week-end espagnol. Pour ce qui est du Lherm, selon nos indicateurs 3 CCViens ont été fidèles au rendez-vous malgré la météo humide. Une boucle rouge somptueuse et très accidentée de plus de 1000m de dénivelé, avec un ravitaillement à Montesquieu Volvestre. Pour celui des trois qui était venu de chez nous en vélo, presque 200 km au compteur dont plus de 80 sous la pluie... Chapeau bas, l'ami !