Tout le monde (54 en tout) est bien arrivé après avoir quitté et laissé Toulouse dans la grisaille. 2 heures plus tard, c'est sous le soleil que nous nous sommes installés à Argelès mais accueillis par la tramontane qui a décidé de s'installer pour les trois jours. En un sens, c'est tant mieux car c'est la garantie du beau temps. Les sommets environnants resteront dans les nuages toute la journée, on voit même un peu de neige sur les pentes du Canigou. Après un premier ravitaillement copieux, nous partons en deux groupes pour la balade de l'après midi, de respectivement 76 et 89 km. Bonne humeur au menu, et le vent qui s'est bien installé ne sera finalement pas trop gênant... Pour le parcours de 89km, c'est un petit col d'une dizaine de kilomètres qui nous attend à mi parcours, avec des pourcentages très raisonnables, parfaits pour une sortie d'échauffement. On découvre en s'élevant dans les Albères, un somptueux paysage qui s'étend sous nos pieds jusqu'à la grande bleue. C'est la descente et Hubert tente une cascade improvisée fort heureusement sans aucun dommage. Les villages sont traversés à allure de sénateur, nous laissant le temps d'admirer les l'architecture locale, les bougainvilliers qui croulent sous les fleurs. Voilà, en résumé, tout va bien. On va se mettre à l'apéro avec modération bien entendu !
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Tout le monde (54 en tout) est bien arrivé après avoir quitté et laissé Toulouse dans la grisaille. 2 heures plus tard, c'est sous le soleil que nous nous sommes installés à Argelès mais accueillis par la tramontane qui a décidé de s'installer pour les trois jours. En un sens, c'est tant mieux car c'est la garantie du beau temps. Les sommets environnants resteront dans les nuages toute la journée, on voit même un peu de neige sur les pentes du Canigou. Après un premier ravitaillement copieux, nous partons en deux groupes pour la balade de l'après midi, de respectivement 76 et 89 km. Bonne humeur au menu, et le vent qui s'est bien installé ne sera finalement pas trop gênant... Pour le parcours de 89km, c'est un petit col d'une dizaine de kilomètres qui nous attend à mi parcours, avec des pourcentages très raisonnables, parfaits pour une sortie d'échauffement. On découvre en s'élevant dans les Albères, un somptueux paysage qui s'étend sous nos pieds jusqu'à la grande bleue. C'est la descente et Hubert tente une cascade improvisée fort heureusement sans aucun dommage. Les villages sont traversés à allure de sénateur, nous laissant le temps d'admirer les l'architecture locale, les bougainvilliers qui croulent sous les fleurs. Voilà, en résumé, tout va bien. On va se mettre à l'apéro avec modération bien entendu !
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